samedi 30 mai 2015

Daniel BALAVOINE, meurtre déguisé ? 


Daniel Balavoine est mort dans l'accident d'hélicoptère survenu en janvier 1986, au cours du rallye Paris/Dakar. 

Il était accompagné de Thierry Sabine, organisateur de la compétition, mais également de trois autres passagers. Ils sont morts sur le coup après le terrible crash de leur appareil. 

Or, la version officielle de cet accident est entachée de nombreuses zones d'ombre. En effet, l'accident n'aurait pas eu lieu le 14 janvier, mais bien la veille. Il n'aurait pas provoqué la mort instantanée des cinq personnes. Il y a eu momentanément des survivants.

L'enquête a été bâclée. Le rapport d'accident n'a jamais été rendu public. Les faux témoignages fleurissent lors d'interventions officielles. C'est un essai mensonger qui nous est présenté et imposé. 



Version "officielle" des faits
Lors de cette soirée du 14 Janvier 1986, au Mali, l’hélicoptère de Thierry Sabine suit les phares de la voiture du pilote Charles Belvèze car la visibilité est mauvaise.
Vers 19h20, près de Gourma-Rharous, l’hélicoptère heurte une dune, et part en looping sur une distance de 150 mètres en se désintégrant. Charles Belvèze et son coéquipier voient une explosion, et partent chercher du secours. 
Aucun des cinq passagers n’a survécu : le chanteur Daniel Balavoine, l’organisateur du rallye Thierry Sabine, le pilote François-Xavier Bagnoud, la journaliste Nathalie Odent, et le technicien radio Jean-Paul Le Fur. 



Réalité des faits
 - L’hélicoptère ne se serait pas écrasé le 14 Janvier 1986, mais le 13 Janvier. De plus, il ne s’agirait pas d’un accident, mais d’un sabotage de l’hélicoptère. 
 - La société Aérospatiale (aujourd’hui Eurocopter) n’a pas retrouvé le rapport d’accident. Le Bureau d’Enquêtes et d’Analyses pour la sécurité de l’aviation civile (B.E.A) affirme que le dossier est vide.
Le livre " Daniel BALAVOINE, meurtre déguisé ? publie des extraits du rapport d’accident provenant de la Direction de l’Aviation Civile du Mali où l’on apprend, entre autre, que tous les éléments du tableau de bord de l’hélicoptère ont été démontés par un représentant de la société Aérospatiale
Où est ce tableau de bord aujourd’hui ? 

Le B.E.A devrait normalement être indépendant. Et pourtant, cet organisme est dépendant du Ministre des Transports, donc du pouvoir politique français

 - Il y aurait non pas un, mais deux hélicoptères. Un qui aurait été saboté le 13 Janvier, et l’autre qui aurait servit à la « mise en scène » du 14 Janvier. 

 - Le corps de Daniel Balavoine ne serait pas présent dans son cercueil à Biarritz. 



Daniel Balavoine dérangeait, il n’avait pas la langue dans sa poche, et son combat contre l’industrie des armes risquait de mettre à jour un trafic d’armes africain. 

Cet ouvrage contient assez d’éléments pour justifier l’ouverture d’une nouvelle instruction de ce qu’il est désormais convenu d’appeler l’Affaire Balavoine.